L'Union fait la force face aux agissements de la CIPAV.

☁ Témoignages des victimes

Permettre à la vérité de voir le jour et à la justice de faire son travail.

Cette rubrique a pour objectif de permettre aux adhérents de la CIPAV de s'exprimer librement et sans contrainte sur les problèmes de la CIPAV.

Chaque témoignage publié dans cette rubrique a été vérifié par Cipav.info.

L'idée n'est pas d'accabler la CIPAV mais de prouver la réalité et la gravité des faits.

> Important : Si vous êtes salarié ou administrateur de la CIPAV et que vous souhaitez témoigner, Cipav.info peut vous garantir l'anonymat et son soutien actif. Merci de votre aide 06 03 75 71 25.

 

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Derniers Témoignages publiés:


  • ❖ Le syndicat des Ostéopathes (SFDO) alerte la CIPAV

    SfdoÀ compter du 25 janvier, les ostéopathes ont à l’initiative du SFDO commencé à interpeler leur caisse de retraite.

    En effet, bon nombre d’entre nous ont commencé à exercer l’ostéopathie avant l’affiliation le 1er juillet 2008 de notre profession par la Caisse Interprofessionnelle de Prévoyance et d'Assurance Vieillesse (CIPAV).

    Jusqu’à cette date et en dépit du principe constitutionnel d’égalité prévalant en matière de protection sociale, ils n'ont ainsi pas été en mesure de se constituer des droits à une pension de retraite en tant qu’ostéopathes.

    Cette situation emporte de lourdes conséquences pour certains de nos confrères approchant ou ayant dépassé l’âge légal de la retraite. Confrontés à une insuffisance de leurs revenus, ils sont conduits à poursuivre ou à envisager de poursuivre leur activité professionnelle.

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  • ❖ La faillite du RSI. Le reportage censuré (M6, Zone Interdite)

    Zone interdite rsiReportage édifiant sur le Régime Social des Indépendants dans l'émission "Zone Interdite", diffusée sur M6 le 14 Décembre 2014.

    Cette vidéo a été censurée sur Youtube pour la France

     

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  • ☁ Témoignage N°119 : "Problème de Cotisations"

    TemoignagesDemande de régularisation de 3 années déficitaires d'activité libérale;pas de réponses, mise en demeure, demande de recours gracieux: pas de réponse; contrainte par huissier.

    Adhérent Cipav n° CI198925xxxxxxxx

  • ☁ Témoignage N°118 : "Problème de Cotisations"

    Temoignages

    Comme chacun d'entre nous, je fais face à un dialogue de sourd avec la Cipav depuis janvier 2013, avec impossibilité systématique de les joindre au téléphone, non réponses aux multiples courriers en R/AR, et quand oh miracle apparaît une réponse (en courrier simple) elle est totalement hors sujet ne répondant aucunement à mes questions.

    Pour résumer brièvement la situation actuelle, il m'est réclamé des cotisations non perçues concernant les années 2010, 2011 et 2012, au montant arbitraire sans un quelconque détail. Je n'ai reçu pour ces années AUCUN appel de cotisations, "dossier" perdu dans les méandres informatiques de la Cipav  Ayant reçu un appel de cotisations pour 2013 (qui m'a naïvement soulagée : j'existe à nouveau dans leurs dossiers!), j'en ai profité pour me rappeler à eux et leur demander qu'en était-il de mon dossier, comment procéder pour m'acquitter des cotisations des années précédentes, et bien entendu quels montants.

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  • ❖ Retraite des libéraux : La Cour des comptes revient à la Cipav (Que Choisir)

    Que choisirCouvrant près de 600 000 affiliés, soit la moitié des professionnels libéraux, la Caisse interprofessionnelle de prévoyance et d'assurance vieillesse (Cipav) avait fait l’objet d’un chapitre très critique dans le rapport annuel 2014 de la Cour des comptes. État des lieux alors que les auditeurs de la Cour des comptes sont de retour à la Cipav en ce moment même.

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  • ☁ Témoignage N°117 : "Problème de Retraite"

    TemoignagesGrâce aux infos de votre collectif, j'ai obtenu avec l'aide de la CADA un relevé de carrière mais je crains avoir des problèmes au moment de la liquidation de ma retraite l'année prochaine. Donc, j'aurai, sans doute, besoin de votre aide/conseil. Félicitations pour votre combat. Cordialement. V.F.

    Adhérent SS n° 25412xxxxxxxxx

  • ☁ Témoignage N°116 : "Problème de Retraite"

    TemoignagesEn l'état actuel, j'ai obtenu le règlement de ma retraite, après une dure et longue bataille. Cependant, je continue mon action en justice pour obtenir près d'un an d'arriérés, qui ne m'a pas été payé, le remboursement de mes frais d'avocats et des dommages et intérêts.

    Adhérent SS n° 152077xxxxxx xx

  • ► Un nouveau site Internet pour Cipav.info !

    Logo v9b200Soyez les bienvenus sur le nouveau site de l'association CIPAV.info ! Si l'apparence reste sensiblement la même, des options intéressantes viennent enrichir la plateforme afin de la mettre notamment à l'heure des réseaux sociaux, en voici un aperçu:

    - Il est désormais possible de commenter les articles. Pour ce faire, l'inscription en tant que membre du site est nécessaire.

    - Chacun peut s'inscrire ici, indépendamment de l'adhésion à l'association, mais certaines pages pourront être réservées aux adhérents. Chaque membre du site dispose d'un petit espace personnel, où il peut renseigner ses informations

    - Les articles et l'ensemble du contenu peuvent maintenant être partagés sur les réseaux sociaux (Twitter, Facebook, Linkedin, Google+)
     

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  • ❖ Les dettes RSI sont bien des dettes professionnelles et non personnelles !

    DettesC’est souvent par effet de bord d’une décision de justice, pourtant défavorable pour le plaignant, que de grands avancées sont faites pour les autres citoyens.

    Tout d’abord, rappelons que si la liquidation d’une entreprise annule bien toutes les dettes de l’entreprise, y compris les dettes sociales liées aux salariés, elle n’annule pas celles du dirigeant non salarié, au motif que les cotisations sociales du travailleur non salarié sont des dettes personnelles et non professionnelles. Ce qui est pour lui moins surprenant car un dirigeant en statut salarié dans une SAS ou SASU ne sera pas poursuivi a titre personnel sur ces dettes alors que le gérant de SARL le sera… De nombreux entrepreneurs qui arrêtent volontairement leur business ont d’ailleurs la mauvaise surprise de se voir poursuivre par le RSI longtemps encore après la fermeture de leur entreprise.

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  • ☁ Témoignage N°115 : "Problème de Retraite"

    TemoignagesLors de la liquidation de mes droits à la retraite, la CIPAV m'a privé de 4 TRIM, par un calcul à son avantage.
    Plus, si besoin.
    Je continue mon activité, après la liquidation des droits, en cotisant à fonds perdus.

    Adhérent Cipav n° CI198661xxxxxxxxx

  • ☁ Témoignage N°114 : "Problème de Retraite"

    TemoignagesBonjour, je me reconnais dans beaucoup de témoignages publiés sur votre site. J'ai cotisé à la CiPAV de 1995 à 2003, puis de 2007 à 2014. J'avais déjà lors de ma période d'activité rencontré des poblèmes de surcotisations, pour lesquels j'avais déjà eu pas mal de démêlés avec les agents de la caisse et dû engager un recours (que j'ai fini par gagner). Mais le pire était à venir : à l'heure de ma retraite. J'ai demandé la liquidation de ma pension au 1er mai 2014, mais pour des raisons obscures, sans doute avais-je omis un énième formulaire la CIPAV ne l'a véritablement enregistré qu'au 1er octobre. Etant polypensionnée, j'ai dû faire la navette entre les caisses, ou plus exactement tenir le rôle de la balle de ping pong.

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  • ❖ Retraite : le plan de secours pour les professions libérales (Les Echos)

    1168994 retraite le plan de secours pour les professions liberales web tete 021429485462 660x363pAprès avoir accueilli une foule d’autoentrepreneurs, la Cipav est débordée.Le nouveau directeur s’est donné deux ans pour remettre en ordre la caisse.

    Les professions libérales ont ­décidément maille à partir avec les régimes de protection sociale. Les malheureux qui ont vécu la naissance difficile du Régime social des indépendants (RSI), émaillée de bugs informatiques et d’appels de cotisations comminatoires, ont de gros risques d’avoir souffert également de l’implosion de la Cipav depuis le début de la décennie. Du moins s’ils font partie des 300 métiers affiliés à cette caisse pour leur retraite de base et complémentaire : architectes, autoentrepreneurs, moniteurs de ski, ostéopathes, programmeurs…

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Date de dernière mise à jour : jeudi, 04 février 2016

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Commentaires

  • ACOU
    • 1. ACOU Le jeudi, 05 septembre 2024
    Bonjour, quelqu'un a-t-il l'historique des cotisations pour la prévoyance CIPAV de 1995 à 2012 pour la Tranche A ? En 2012, la cotisation était de 76 euros. Merci.
  • JMB40
    • 2. JMB40 Le jeudi, 26 octobre 2023
    Bonjour à tous
    Date de création de mon activité 10/10/1994 et bénéficiaire de l'ACCRE.
    Relevé de carrière :
    En 1995 0 trimestre enregistré
    En 1996 1 trimestre enregistré
    En 1997 1 trimestre enregistré
    Soit un total de 10 trimestres manquants (2.5 ans).

    Réponse oral de la CIPAV :
    Pour 1995 il ne me connaissait pas
    Pour 1996 et 1997 1 trimestre pas année c'est normal car chiffre d'affaire trop faible

    Ayant bénéficié de l'ACCRE il m'avait été indiqué que j'avais d'un allègement des charges sociales durant les trois premières années de mon activité.

    Quelqu'un a-t-il son cas silimaire au mien?

    Est-ce normal le non enregistrement des mes 10 trimestres travaillés ?

    Cordialement
    Jean-Marie BRUYERE
  • Celosa57
    • 3. Celosa57 Le dimanche, 08 octobre 2023
    Peut on espérer récuperer ses points de retraite sans passer par un avocat ? C' est très cher , pas dans mes moyens .
  • MobyCipav
    • 4. MobyCipav Le vendredi, 29 septembre 2023
    Bonjour,
    Même cas que clodine84 et Vionel.
    Graphiste affiliée à la CREA , je viens d'apprendre il y a quelques jours en contactant la CIPAV (alors que j'ai envoyé un courrier il y a un an resté sans réponse et que j'ai fais ma demande de retraite) que soit-disant ils n'ont pas d'infos me concernant. Moins grave pour moi puisque ça ne concerne que 3 ans (ensuite affiliée à la Maison des Artistes) mais vu le montant des cotisations payées à l'époque on aimerait bien récupérer, si minime soit-elle, une petite pension
  • Celosa57
    • 5. Celosa57 Le lundi, 20 février 2023
    Bonjour
    En tant que dessinatrice j' ai cotisé de 1980 à 1992 à la CREA pensant cotiser pour ma retraite , résultats 44 trimestres non cotisés sans que je le sache ! La CIPAV est responsable il me semble ? Je ne sais pas quoi faire .
    Comment agir ?
  • clodine84
    • 6. clodine84 Le vendredi, 10 février 2023
    J'ai cotisé de 1993 à 1998 à la CREA devenue CIPAV. Aujourd'hui l'actualité m'y engageant, je me penche sur mon relevé de carrière et je constate que les trimestres entre 1993 et 1998 ne sont pas validés. J'aimerais prendre contact avec des personnes dans le même cas. Pour savoir ce qu'il convient de faire ou au moins pouvoir s'entraider.
    Merci
  • WilcoConsulting
    • 7. WilcoConsulting Le lundi, 20 juin 2022
    Je souhaite informer sur ce que je suis en train de vivre et qui est en train de devenir un calvaire !

    En 2017 je deviens indépendant. L'adhésion à la Cipav se fait de façon automatique. Un premier appel est émis, je règle le montant.

    En 2018 un nouvel appel est émis. Bien que mes revenus 2017 soient alors connus et qu'ils militeraient pour que l'appel de ma cotisation de retraite complémentaire se fasse en tranche F, la Cipav émet cet appel en tranche A pour 1315 €. Je règle à nouveau le montant demandé.

    En octobre 2019 vient l'appel pour 2019, qui comporte la régularisation de toutes les lignes de cotisation pour 2018 (c'est indiqué comme ça dans le document). Ma rémunération 2018 y figure, et 2 régularisations sont effectivement produites au titre de 2018 (tranche 1 et 2), pour 4000 €. Mais aucune régularisation de ma ligne de retraite complémentaire n'apparaît. S'y ajoutent les cotisations appelées pour 2019 (cette fois en classe F) pour 20000 €, le total fait donc 24000 € et à nouveau je règle le montant.

    L'appel 2020 arrive : aucune information ni régularisation concernant 2018. L'appel 2021 arrive, et idem : aucune information ni régularisation concernant 2018. A chaque fois je règle la somme qui figure sur l'appel

    Et nous arrivons à mars 2022, le début de mon cauchemar : je reçois une mise en demeure de 13700 € avec comme seule info "période d'exigibilité : 2019". Je ne comprends rien, je demande des explications..

    En avril 2022 je reçois un détail complet de mes cotisations sur la période 2017 à 2021. Sur cet état, ma ligne de retraite complémentaire 2018 n'est plus à 1315 €, elle apparaît maintenant à 14400 € !!! Et j'en ai aussi pour 1500 € de "majorations de retard" sur 2019.

    Je passe 2 mois à échanger avec la Cipav afin d'essayer de comprendre pourquoi cette ligne vient de changer aussi tardivement, et à quoi correspondent ces majorations de retard qui me sont imputées alors que ce retard de plus de 3 ans a été généré de toute pièces par la CIPAV.. Sur le premier point (pourquoi n'ai-je pas été appelé des bonnes sommes en temps et en heure) je n'ai toujours pas de réponse. Et sur le second point (les majorations de retard) non plus.. C'est vraiment un dialogue de sourds.. LA Cipav répond plut$ot assez vite mais à chaque fois à côté de la question posée. Je finis même par recevoir un coup de fil (en numéro masqué) et quand j'arrive à exprimer à quel point je suis démuni en découvrant en 2022 que j'aurais du cotiser beaucoup plus qu'il ne m'a été demandé en 2018 , mon interlocutrice me répond (Cher Monsieur, nul n'est censé ignorer la loi" !

    Au final j'émets un courrier disant que je suis d'accord pour régler l'écart de cotisation (12200 €) mais pas les majorations de retard (1500 €) et... depuis ce vendredi j'ai une réponse de la Cipav qui me dit que je dois tout : les cotisations + les majorations de retard et que viennent en plus s'y ajouter des frais de recouvrement car je suis maintenant renvoyé devant leurs huissiers (qui viennent de m'expliquer que je vais bientôt recevoir une contrainte).

    Je suis dégouté : je constate que la Cipav calcule avec ses pieds, qu'elle met plus de 3 ans à revoir ses calculs (à supposer que ceux d'aujourd'hui soient correct d'ailleurs, on peut légitimement en douter). Elle est d'une rare arrogance dans la posture de recouvrement, et quand au final vous êtes prêt à lâcher prise (car il faut bien penser à autre chose au bout d'un moment, et retourner travailler afin de cotiser pour nourrir cette bande de bras cassés), ils vous mettent aux huissiers.. C'est à rire et/ou à vomir..

    Je ne sais pas si je suis le seul en ce moment, à être aussi brusquement "redressé" au titre d'un nouveau calcul de ma retraite complémentaire 2018. J'aimerais bien savoir s'il y a d'autres cas identiques, j'aimerais savoir si c'est une tendance du moment à la Cipav.

    Bien à vous,
    Pascal
  • Emilia
    • 8. Emilia Le mercredi, 12 août 2020
    Le 21 avril 2020 j’ai envoyé un courrier à la CIPAV pour les informer du décès de mon mari Dominique DESCHAMPS qui a survenu le 10 avril 2020. Je les ai aussi informé que mon mari était retraité depuis 2015 (CNAV et AGIRC-ARRCO) et qu’il n’a pas bénéficié d’aucune indemnisation de la part de CIPAV. Par la même occasion je les ai demandé de faire le nécessaire pour arrêter la procédure mise en œuvre chez ACTOJURIS – huissiers. J’ai attaché au courrier une copie de l’acte de décès ainsi qu’une attestation de payement de retraite détaillée.
    Maintenant, j’ai reçu une notification de la part des huissiers qui demande à mon époux le payement de la somme de 11567,55 euros.
    J’ai envoyé le courrier avec accusé de réception et j’attends toujours une réponse de leur part.
  • PBKN
    • 9. PBKN Le mardi, 10 mars 2020
    Un grand merci à Madame MALKA pour m'avoir entendu quelques minutes hier soir, c'est malheureux d’être oblige de se raccrocher à quelques paroles au téléphone alors qu'on a travaillé dur toute sa vie. Merci Madame.
  • PBKN
    • 10. PBKN Le mardi, 10 mars 2020
    Bonjour Mesdames, Messieurs,
    J’ai été ponctionné par l'huissier Nocquet, Flutre, Marcireau, de la somme de 5736,05€, directement sur notre compte joint à la BNP.
    Avec mon épouse nous nous sommes aperçu de ce vol en consultant notre compte bancaire sur Internet au moment de Noël dernier, simplement parce que certaines fonctionnalités n’étaient pas disponible entre autre pour faire un virement ; renseignements pris par téléphone auprès du banquier on découvre le pot aux roses : une saisie attribution est en cours.
    Sur le moment on n’obtient même pas d’autres renseignements ni de qui il s’agit, ni pourquoi, ni rien…
    Ce n’est que le lendemain dans le bureau du directeur de l’agence parce qu’il téléphone à un supérieur hiérarchique certainement, que nous prenons connaissance de l’identité du voleur et de son commanditaire à savoir la CIPAV.
    Nous apprenons également que l’intervention date du 12 décembre courant, cela fait donc déjà presque 15 jours que la saisie a eu lieu !
    À partir de ce moment je remue le ciel et la terre je téléphone j’envoie des mails partout où je peux partout où je découvre une adresse, sur Internet, dans l’annuaire, j’essaie de savoir qui est ce créancier et pourquoi je lui devrais une telle somme d’argent.
    Impossible de joindre qui que ce soit pendant toutes les fêtes de fin d’année.
    Le 16 janvier 2020 je reçois enfin une lettre simple de la banque pour m’informer officiellement de cette saisie (plus d’un mois après) mais je ne trouve comme renseignements intéressants que le nom de l’huissier, la somme qui est confirmée et un numéro de dossier qui me manquait cruellement lors de mes précédentes recherches et démarches.
    Je ne connais toujours pas la raison.
    D'ailleurs à ce propos je passerai rapidement sur le comportement du banquier très suspicieux, ne croyant absolument pas notre bonne foi quand on lui dit qu’on ne sait vraiment pas de quoi il s’agit. En revanche il sait nous dire qu’il va nous taxer de 130 € pour cette affaire !!
    Maintenant que je sais à qui j’ai affaire et avec un numéro de dossier, une référence, je repars en campagne à essayer de joindre un responsable, par téléphone par mails…
    Rien n’y fait jusqu’au 6 février quand je prétends que je vais déposer une plainte directement auprès du Procureur de la République.
    Le lendemain, le 7 février, je reçois un mail de maître Flutre avec en pièce jointe une lettre qui m’informe qu’une contrainte aurait été signifiée à une adresse à laquelle je résidais en 1991, il y a près de 30 ans !
    J'ai exercé quelques temps une activité d'éducateur sportif arrêtée en 1997, suivi de mon départ de cette région pour une ville située à plus de 850 km, jusqu’à aujourd’hui. Bien entendu j’ai procédé aux différentes radiations et régularisation avant mon départ.
    Au passage on remarquera que l’huissier a su trouver mon compte en banque actuel mais pas mon adresse ! Or elle apparaît clairement sur mon RIB et donc auprès du banquier qui comme par hasard ne peut pas donner ce renseignement, en revanche il peut lui donner tout mon argent. Est-ce que c’est moi qui hallucine ou est-ce qu'on marche sur la tête ?
    D'ailleurs à ce propos ne pourrait-il y avoir un aménagement de la loi concernant cette possibilité de saisie bancaire, mais pour lui pour le banquier , la faculté de vérifier que l’huissier a bien fait son travail avant de le laisser saisir un compte en banque, tout simplement de s’assurer que son client dont il doit protéger les biens, est bien informé de l’existence d’une dette ??? Puisque le banquier a forcément une adresse fiable.
    Dans mon cas non seulement la dette n’existe pas aux dires de l’avocat mais en plus c’est à moi de me débattre, de prouver, de démarcher, décrire, de téléphoner, l'ENFER.
    Je n’ai pas l’intention de rester les deux pieds dans le même sabot et puisqu’on n’a pas le droit de se faire justice soi-même, c’est décidé je dépose une plainte auprès du Procureur de la République avec constitution de partie civile, advienne que pourra je n’ai plus rien à perdre ils m’ont pris mes économies.
    NB : Il y a quelques jours, le 02 mars 2020 à 17.40 h j’ai RÉUSSI à parler à quelqu’un (une dame) au 01.44.95.68.20 un des numéros de la CIPAV.
    J’ai donné mon numéro de sécurité sociale et raconté mon histoire à cette DAME qui, devant son ordinateur, m’a affirmé que cette démarche à mon encontre était une erreur, (c’est elle qui m’a rappelé la date de ma radiation) , elle m’a promis de faire le nécessaire en informant le service contentieux pour qu’il arrête la procédure, que l’huissier procède à la main levée…..le temps passe et rien ne bouge, c’est intolérable.
    C’est curieux comment les choses vont très vite dans un sens et jamais dans l’autre. Il faut cinq minutes à l’huissier pour saisir le compte, et des semaines pour le débloquer.
    Je n’en peux plus.
  • lauu
    • 11. lauu Le lundi, 28 octobre 2019
    Bonjour,
    Comme beaucoup d'entre vous j'ai des soucis avec la CIPAV...
    Il a quelques années j'étais en profession libérales et je cotisais donc chaque années , mais en 2016 je me suis radié pour changement d'orientation professionnel. A ce jour une guerre avec la CIPAV a commencé il me réclame de payé des cotisations pour l'année 2017, mais étant radié et employé dans une autre branche je ne comprend d'ou il trouve cette sommes que je devrais leur versé, après plusieurs appels je n'ai toujours pas plus d'explications.. j'ai déjà envoyer plusieurs recommandé cela sans réponse et aujourd’hui je reçois un courrier d'un huissier de justice. Je ne sais pas trop ce que je doit faire, est ce que vraiment je leur doit cette argent ?
    Merci pour votre aide
  • ben5
    • 12. ben5 Le mercredi, 14 mars 2018
    Bonsoir

    il y a deux mois je recois un courrier d huissier me demandant 3500€ de cotisation de 2010 et 2011 pour un organisme se nommant CIPAV organsime que je n ai jamais connu j ai bien ete gerant non salarié de mon sarl a l epoque mais je n ai jamais etait en profession libérale je renvoi un mail a cet huissier lui expliquant qu il s agit surment d une erreur et de verifier aupres de ce fameux organisme qui me reclame de l argent indu
    1 mois apres ce mail je recois un courrier d huissier a nouveau qui m explque le detail des sommes que je dois et qu il n y pas d erreur a savoir 2500€ cotisation 740€ DE penalité de retard et des frais d huissier venant se greffer. JE laisse passer je suis sure de moi a 2000% qu il s agit d une erreur....hier je recois un courrier d huissier me disant qu il a effectué une saisie attribution le 8 mars sur mon compte bancaire et que j ai 48h pour lui effectuer un paiement de 3674€ sinon il reprend les poursuite de la j ai envie de lui dire reprendre des poursuite a bon ? MAIS A QUELLE MOMENT ON M A SIGNIFIE QUE J ETAIS POURSUIVI ? aujourdhui j ai recu un courrier de ma banque pour me signaler la saisie attribution de 4049€ qui n a pus etre prise car pas l argent .... mais j ecope d un frais de saisie de la banque de 130€ .... je ne dois pas cet argent car je n ai pas rentré un seul euro de revenu declaration d impot a l appuie j ai fermé la societe en 2011 je n ai jamais signé le moindre papier pour m engager avec la cipav ... je suis actuellement sans emploi en situation precaire j ai aucun moyen de me defendre je vais surement perdre mon appart car s ils viennent tout les mois me bloquer mon compte ils passeront bien un moment ou je toucherai mes droit assedic et de la se serviront et m empecheront de payer mes facture alors une question me taraude comment faire dans cette situation quand on est sure que l on doit rien ? que faut il faire accepter et sombrer se retrouver a la rue brauqer une banque ? voler une vieille au coin de la rue ? suis je dans une republique bananiere ? ou suis je juste une victime d un systeme mafieux bien que la mafia te demande pas ce que tu dois pas ....
  • ben5
    • 13. ben5 Le mercredi, 14 mars 2018
    Bonsoir

    il y a deux mois je recois un courrier d huissier me demandant 3500€ de cotisation de 2010 et 2011 pour un organisme se nommant CIPAV organsime que je n ai jamais connu j ai bien ete gerant non salarié de mon sarl a l epoque mais je n ai jamais etait en profession libérale je renvoi un mail a cet huissier lui expliquant qu il s agit surment d une erreur et de verifier aupres de ce fameux organisme qui me reclame de l argent indu
    1 mois apres ce mail je recois un courrier d huissier a nouveau qui m explque le detail des sommes que je dois et qu il n y pas d erreur a savoir 2500€ cotisation 740€ DE penalité de retard et des frais d huissier venant se greffer. JE laisse passer je suis sure de moi a 2000% qu il s agit d une erreur....hier je recois un courrier d huissier me disant qu il a effectué une saisie attribution le 8 mars sur mon compte bancaire et que j ai 48h pour lui effectuer un paiement de 3674€ sinon il reprend les poursuite de la j ai envie de lui dire reprendre des poursuite a bon ? MAIS A QUELLE MOMENT ON M A SIGNIFIE QUE J ETAIS POURSUIVI ? aujourdhui j ai recu un courrier de ma banque pour me signaler la saisie attribution de 4049€ qui n a pus etre prise car pas l argent .... mais j ecope d un frais de saisie de la banque de 130€ .... je ne dois pas cet argent car je n ai pas rentré un seul euro de revenu declaration d impot a l appuie j ai fermé la societe en 2011 je n ai jamais signé le moindre papier pour m engager avec la cipav ... je suis actuellement sans emploi en situation precaire j ai aucun moyen de me defendre je vais surement perdre mon appart car s ils viennent tout les mois me bloquer mon compte ils passeront bien un moment ou je toucherai mes droit assedic et de la se serviront et m empecheront de payer mes facture alors une question me taraude comment faire dans cette situation quand on est sure que l on doit rien ? que faut il faire accepter et sombrer se retrouver a la rue brauqer une banque ? voler une vieille au coin de la rue ? suis je dans une republique bananiere ? ou suis je juste une victime d un systeme mafieux bien que la mafia te demande pas ce que tu dois pas ....
  • TORNEX
    • 14. TORNEX Le vendredi, 08 décembre 2017
    Depuis 2 ans, je me fais saigner comme un goret à coups d'huissiers sans même recevoir un seul courrier de relance ou autre. Des fois, ils sont venus à une semaine d'intervalle à coups de 2500 / 3000 eur. Le dernier était avant hier pour plus de 5000 eur. Ils me réclament plus que je ne gagne !! Je n'ai plus rien sur mon compte et ne peux même plus payer mon loyer. Je n'en peux plus et ne dors plus la nuit à cause de cela tant la torture psychologique est forte.
    Si Charlie hebdo a sensibilisé l'opinion face à la barbarie, et si je me retrouve sur la paille, je veux bien me désigner pour aller à Paris faire un Cipav hebdo. S'il faut en venir à cela pour être entendu, je le ferai !!!!
  • yann_cipavinfo
    Bon courage val do et n'hésitez à rejoindre nos bénévoles pour lutter efficacement contre la CIPAV
  • Val_Do
    • 16. Val_Do Le lundi, 06 novembre 2017
    Bonjour,
    10 ans que je suis affiliée à la CIPAV et déjà 3 fois victime de leurs délires en matière d'appels à cotisation fantôme, erroné ou abusif.
    10 ans qu'à chaque courrier reçu de la CIPAV je me demande ce que je vais encore découvrir et à quelle sauce je vais être mangée.
    .
    Cette fois, ils m'ont eue. J'ai reçu une contrainte en mon absence à laquelle je n'ai pu m'opposer parce qu'à mon retour, le délai de 15 jours était dépassé. Et me voilà aujourd'hui avec une procédure de saisie sur mon compte bancaire pour une somme de plus de 5000 € sortie du chapeau de la CIPAV car, après des heures et des heures de calculs et de recalculs, elle ne correspond à rien !
    Elle ne correspond d'autant plus à rien qu'à l'époque de la contrainte (2016), je disposais d'un crédit de cotisation depuis un an (2015) que la CIPAV refusait de me rembourser (verbalement bien sûr car comme la plupart, impossible d'avoir un écrit) et qu'elle a fini par imputer en partie sur mes appels (2016) mais une fois le contentieux lancé et qu'il ne m'était plus possible de le contester ! Le contentieux porte sur mes cotisations (2015).

    Je vais donc être saisie d'une somme qu'en réalité je ne devais pas et lorsque cette somme aura été saisie, le comble du ridicule, je passerai de nouveau en situation de crédit auprès de la CIPAV car je suis à jour de mes cotisations. C'est ce qu'on appelle une histoire sans fin...

    Comment la CIPAV peut-elle encore avoir autorité de la chose jugée et qu'il ne nous soit pas donné possibilité de recours contre ses procédures abusives et erronées à postériori ? C'est scandaleux ! La CIPAV a légalement le droit de nous escroquer car à l'échelle de milliers d'adhérents par an, pour ne pas dire de centaines de milliers par an, ce n'est plus de l'erreur de gestion, c'est bel et bien de l'escroquerie organisée et cautionnée par tous ceux qui auraient le pouvoir d'agir contre la CIPAV et qui ne font rien.

    Cette fois, cela en est trop. Je n'en resterai pas là.
    Bravo à tous ceux qui se battent pour nous tous et merci de nous donner l'opportunité de nous exprimer. Ce n'est pas grand chose mais c'est déjà beaucoup lorsqu'on est victime de la CIPAV !
  • Vionel
    • 17. Vionel Le lundi, 17 juillet 2017
    Graphiste à mon compte et affiliée par obligation à la CIPAV depuis 1985, je suis à la retraite depuis le 28 février 2017. Aujourd’hui le 13 juillet 2017, malgré plusieurs appels et une lettre recommandée, je n’ai reçu aucun versement de ma pension de retraite.
    Par ailleurs sur l’année 2016, j’ai versé une cotisation calculée selon mes revenus de 2015. Or, mes revenus de 2016 ont été plus faibles et la CIPAV a donc touché un trop perçu qu’elle refuse de me rendre, sous prétexte que j’ai cessé mon activité. Pour l’avenir, ma subsistance dépendant de la CIPAV, je me trouve tout bonnement prise en otage sans réel moyen de lutter et sans revenu depuis plus de 4 mois.
  • malbare
    • 18. malbare Le lundi, 18 juillet 2016
    Bonjour, en activité depuis 2013 et fermeture de l'entreprise autoentrepreneur en 2016, mon chiffre d'affaire pour ces 2 ans et demi est largement en dessous de 5320€ ! On me réclame de payer 2500€ de cotisations !! Que faire pour être exonéré à 100% ?
    Sachant que j'ai déja fait une demande en AR mais avis défavorable!
    Merci par avance
  • VINCENNES94
    • 19. VINCENNES94 Le samedi, 09 juillet 2016
    Bonjour à tous,

    La CIPAV vient de me faire saisir par blocage sur mon compte bancaire, une somme réclamée pour une cotisation que je devrai de 2011 !
    Pour cela ils sont passés par leur huissier Amrouch, Salomon (Avec qui ils travaillent depuis 30 ans ..)

    J'avais déjà précisé que j'étais bénéficiaire de l'ACCRE et qu'au titre de ma première année d'activité j'étais exonéré à 100%. J'ai renvoyé les justificatifs en AR(ACCRE) prouvant que je n'avais rien à payer pour 2011 .. et surtout que pour cette première année je n'avais pas de CA !

    La somme a donc été bloqué sur mon compte et les frais de blocage prélevés par ma banque !

    Auriez vous une idée svp de la façon dont je devrai agir et comment me faire assister ? Merci
  • Marmath
    • 20. Marmath Le mercredi, 06 avril 2016
    Bonjour,comme beaucoup d'entre vous mon associée et moi même sommes victimes des dysfonctionnements de la CIPAV.Que dis-je dysfonctionnement je devrais peut être dire "racket organisé".
    En effet,nous avons créé en 2013 une toute petite SARL avec une de mes collègues.Nous sommes encore salariées d'une association et exerçons notre activité de SARL à titre accessoire. Nous ne nous versions pas de salaire.
    La CIPAV nous fait des calcul d'apothicaire et est incapable de nous produire les mêmes chiffres pour l'une ou pour l'autre,incroyable!!
    Bien entendu,nos divers courriers restent sans réponse,et les erreurs de calcul s'accumulent.
    Merci pour votre aide et vos conseils à Cipav.info cela nous a permis de mettre le dossier entre les mains d'un avocat car notre patience arrive à ses limtes s

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