► L'état français complice des turpitudes et infractions des dirigeants de la CIPAV.
Depuis des années, les adhérents de la CIPAV constatent de façon récurrente, par voie de presse ou copie des jugements rendus, que les dirigeants de leur caisse de retraite bénéficient d'avantages d'un autre temps, qu'ils sont juges et coupables de leurs propres infractions, et plus grave que la complaisance des services de l'état français à leur encontre n'a pas de limite.
Pour exemple, Madame Mathilde Lignot-Leloup, directrice de la Sécurité Sociale, s'est permis, en date du 18 novembre 2019, d'intervenir volontairement auprès de la Cour de Cassation pour tenter de sauver le soldat CIPAV concernant la minoration illégale des points retraite d'un adhérent auto entrepreneur de la CIPAV.
Comme la Cour de Cassation a refusé de prendre en compte cette intervention fallacieuse et qu'elle a dans un jugement "impartial et incontestable" reconnue l'illégalité de la minoration illégale des points retraite de la Caisse, la logique voudrait que cela s'applique désormais à tous les adhérents auto entrepreneurs et handicapés de la CIPAV, sauf que les services de l'état sont de nouveaux intervenus pour éviter une procédure commune ce qui va obliger les adhérents victimes à saisir à titre personnel les tribunaux pour obtenir réparation au sein d'une procédure dilatoire qui peut durer jusqu'à dix ans.
Quelle honte !!!!
En bref, une nouvelle fois les services de l'état volent au secours des dirigeants de la CIPAV, sur le principe que reconnaître les turpitudes des dirigeants de la Caisse, c'est l'obligation de devoir rembourser plusieurs millards d'euros aux adhérents victimes de la CIPAV.
Plutôt que d'assumer ses responsablilités, l'état français et ses gouvernements successifs, ont permis de faire perdurer dans le temps les infractions des dirigeants de la CIPAV.
La minoration illégale des points retraites des adhérents des adhérents handicapés ou auto entrepreneur de la CIPAV (385000 adhérents) n'est pas un phénoméne isolé car il concerne aussi les indépendants affiliés à la CREA ( 7000 adhérents ) et les artistes auteurs affilié à l'association AGESSA (190000 adhérentsd) soit environ six cent mille travailleurs indépendants.
Le nombre de victimes est tout simplement ahurissant et la spoliation de leurs droits légitimes par la Cipav ou les services de l'état justifie amplement l'appelation de "génocide administratif" concernant les victimes de la CIPAV.
Ce n'est pas la première fois que les services de l'état permettent aux dirigeants de la CIPAV de bénéficier d'avantages incongrus ou illégaux mais cette fois c'est trop et les adhérents de la CIPAV refusent clairement d'être pris pour des citoyens de seconde zone, des parias, plus longtemps.
La fuite en avant des dirigeants de la CIPAV et des services de l'état ne peut pas avoir d'avenir sans détruire définitivement la confiance des adhérents concernés dans le système des retraites.
En plein débat sur les réformes des retraites, il serait temps de reconnaître que les adhérents de la CIPAV sont victimes d'une spoliation de leurs droits légitimes.
Il est nécessaire que le Ministére de la Santé, la Sécurité sociale, l'IGAS et la MNC, garantissent la mission publique de la Caisse de retraite plutôt que de permettre aux dirigeants de la CIPAV de continuer à imposer une gestion désordonée aux adhérents.
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