► STOP à l'utilisation frauduleuse de la vérité par les dirigeants de la CIPAV
- Par
- Le mardi, 07 mars 2017
- Dans ► Actu de l'Association
- 0 commentaire
L'utilisation frauduleuse de la vérité est un délit pénal et c'est encore plus grave quand c'est la CIPAV ou ses dirigeants qui en sont les auteurs car cela porte préjudice à ses six cent mille adhérents obligatoires ainsi qu'à leur familles.
Mentir pour cacher ou travestir la vérité dans l'exercice de fonctions officielles est un crime et la délinquance en col blanc n'a pas à bénéficier d'un traitement de faveur.
Tout d'abord, nous rappellons que notre collectif et plusieurs dizaines d'adhérents de la CIPAV ont déposé plainte au mois de Janvier 2017 pour l'utilisation frauduleuse de la vérité par les dirigeants de la CIPAV.
En effet, les mensonges des dirigeants de la CIPAV sont récurrents, souvent fallacieux et de nouveaux apparaissent sans cesse au gré des publications de la CIPAV.
Pour exemple. Suite à la publication de la lettre de l'actuel directeur, Monsieur Olivier Selmati, concernant "l'amélioration" du traitement des chéques de cotisation des adhérents de la CIPAV, notre collectif a fait constater par huissier que la CIPAV encaisse des chéques qui ne sont pas à son ordre et pour des activités déclarés totalement farfelues comme celle de "nyctalope amateur".
En outre, il est à noter que malgré le fait que la CIPAV n'avait aucun droit pour encaisser ou disposer des chèque transmis par notre huissier lors du test, la CIPAV n'a jamais procédé au remboursement intégral des sommes encaissées, ce qui est du vol pur et simple.
Plus récémment et malgré la publication de nombreux articles sur l'état déplorable de son parc immobilier (ex CAPITAL), les dirigeants de la CIPAV ont indiquées par écrit dans le rapport de la Cour des comptes que la gestion du parc immobilier était exemplaire, en croissance et fort rentable, ce qui est en totale contradiction avec les faits.
Pour preuve, vous trouverez ci joint une lettre de la préfecture de Police de Paris qui indique clairement que la situation déplorable d'un immeuble de la CIPAV "constitue toujours un risque grave pour la sécurité des occupants ".
Les mensonges des dirigeants successifs et actuels de la CIPAV sont responsables de faillites, de suicides, de fermetures d'entreprise et d'une grande souffrance des adhérents; il est temps que cela cesse.
En dissimulant la réalité des faits et en faisant usage d'une utilisation frauduleuse de la vérité, les dirigeants successifs de la CIPAV ont empêché les adhérents de la caisse de se rendre compte de la gravité des faits et de mettre fin à ce scandale.
Pire, en refusant de se constituer partie civile lors des procés des anciens directeurs (Durin et Saunier) ou en nommant l'usurpateur des fonctions de président du conseil d'administration (Escourrou), président honoraire, les dirigeants actuels de la CIPAV sont coupables de vouloir museler la vérité à leur profit.
A l'aube des élections internes de la CIPAV "initialement prévues en décembre 2017", il serait temps de préciser les responsabilités des dirigeants de la CIPAV surtout que ces derniers n'hésitent pas à utiliser frauduleusement la vérité pour faire croire aux services de la tutelle (ministére, sécurité sociale,...), qu'il est nécessaire de supprimer les prochaines élections et de prolonger de trois ans la durée de leurs mandats d'administrateurs.
Face aux mensonges de la CIPAV, notre collectif attend de la justice des décisions fermes et exemplaires car le préjudice des adhérents est réel et d'une ampleur sans précédent.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire